Médicament contre le Covid-19: La demande d'homologation de Roche examinée en priorité aux États-Unis6 avril 2022
Médicament contre le Covid-19: La demande d'homologation de Roche examinée en priorité aux États-Unis Le Figaro.fr avec AFP | Publié le 4 avril 2022 | 18:00 Le groupe pharmaceutique suisse Roche annonce lundi que sa demande d'homologation aux États-Unis pour l'utilisation de son médicament tocilizumab auprès des patients hospitalisés pour une infection au Covid-19 allait faire l'objet d'un examen prioritaire. Depuis le début de la pandémie, ce médicament initialement destiné au traitement de la polyarthrite rhumatoïde a été utilisé pour traiter plus d'un million de personnes hospitalisées pour une infection au Covid-19 au niveau mondial, indique le groupe dans un communiqué. Aux États-Unis, cet anticorps monoclonal administré par intraveineuse avait été utilisé sur la base d'une autorisation d'urgence accordée en juin 2021. Sur la base de quatre études réalisées auprès de 5.500 patients hospitalisés, le groupe suisse a déposé une demande d'homologation auprès de l'agence américaine des médicaments pour faire approuver ce traitement pour les patients adultes hospitalisés qui sont soignés par corticostéroïdes et qui ont besoin d'oxygène. L'agence américaine des médicaments, la Food and drug administration (FDA) lui a accordé le statut d'examen prioritaire qui est réservé aux médicaments destinés aux maladies graves pour lesquelles il existe peu d'options de traitement. Une décision attendue durant le deuxième semestre 2022 S'il est approuvé, ce médicament commercialisé selon les pays sous le nom d'Actemra ou RoActemra serait le premier immunomodulateur approuvé aux États-Unis pour les patients hospitalisés pour une infection par le Covid-19, a précisé Roche dans un communiqué. La décision de la FDA est attendue durant le deuxième semestre 2022, a-t-il ajouté. En décembre, l'Agence européenne des médicaments (EMA) avait approuvé ce traitement pour les patients hospitalisés pour une forme grave de Covid-19, estimant qu'il réduisait leur mortalité. Depuis, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a pré-qualifié en février le tocilizumab pour soigner les patients atteints de formes graves du Covid-19 afin de rendre ce traitement plus accessible aux pays à faibles revenus. Également porté par des données positives dans une étude sur son médicament Ocrevus contre la sclérose en plaques, le titre Roche a clôturé la séance en hausse de 3,13% à 382,75 francs suisses soutenant le SMI, l'indice phare de la Bourse suisse, en hausse de 1,33%.
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Covid long : ce médicament en vente libre pourrait soulager certains symptômes, selon une étude2/18/2022 Covid long : ce médicament en vente libre pourrait soulager certains symptômes, selon une étude18 février 2022
Covid long : ce médicament en vente libre pourrait soulager certains symptômes, selon une étude Femme Actuelle.fr | Publié le 18 février 2022 | 11:01 Une nouvelle prometteuse pour les personnes souffrant de Covid long. Les antihistaminiques pourraient changer la donne pour les personnes souffrant d’un Covid long, qui se caractérise par la persistance de symptômes pendant plusieurs semaines voire mois après l’infection au virus. C’est ce que suggèrent des scientifiques dans une étude publiée le 7 février 2022 dans The Journal for Nurse Practitioners. Les antihistaminiques permettraient de soulager certains symptômes du Covid long Les antihistaminiques, souvent utilisés pour traiter les affections telles que les rhinites ou les urticaires, pourraient permettre de traiter certains symptômes du Covid long, d'après cette étude. Le rapport des chercheurs de l’université de Californie à Irvine (États-Unis) décrit deux cas de femmes d’âge moyen et atteintes de Covid long. Ces dernières ont découvert, par hasard, que les antihistaminiques leur permettaient de soulager considérablement leurs symptômes, et ce depuis près d'un an. Les symptômes de la première femme atteinte de Covid long comprenaient des douleurs thoraciques, des maux de tête, une éruption cutanée, tandis que la seconde a dû faire face à des douleurs articulaires et abdominales, ainsi qu'à des éruptions cutanées et des engelures autour des orteils. Selon les scientifiques, toutes deux ont pris des antihistaminiques en vente libre (e.g. Benadryl, Flonase, Zyrtec, Allegra, Claritin, Nasacort, etc. )pour traiter d'autres affections : la première avait eu une allergie aux produits laitiers en mangeant du fromage, et l'autre était à court du médicament contre les allergies qu'elle prenait habituellement. En prenant des antihistaminiques, elles ont constaté une nette amélioration de leur état de santé. Covid long et antihistaminique : 90 à 95% des capacités retrouvées Près de 90% des facultés de la première patiente ont été retrouvées, révèlent ces travaux. En effet, après avoir observé une résurgence des symptômes après l’arrêt de son traitement, cette dernière a décidé de le reprendre quotidiennement, avec l’approbation de son médecin, et a remarqué que son brouillard cérébral et sa fatigue s'étaient améliorés. Elle a pu reprendre son travail à temps complet et pratique un exercice d'intensité modérée de 1 à 2 heures 5 à 6 fois par semaine. Quant à la deuxième patiente, elle a continué à prendre quotidiennement le traitement avec d'autres médicaments afin de lutter contre les allergies. Cette dernière a constaté que les antihistaminiques ont également réduit de manière significative ses autres symptômes de Covid long. Elle a déclaré avoir retrouvé 95 % de ses capacités. Covid long et antihistaminique : un nouveau traitement prometteur ? Les scientifiques américains estiment que ce médicament pourrait donner espoirs à toutes les personnes atteintes de Covid long : "Actuellement, il n'existe pas de remède pour soigner le Covid long, seulement une gestion des symptômes. Un certain nombre d'options sont testées, les antihistaminiques étant l'une d'entre elles. La possibilité qu'un médicament facile d'accès et en vente libre puisse soulager certains des symptômes persistants de la Covid-19 devrait donner de l'espoir aux quelque 54 millions de personnes dans le monde qui sont en détresse depuis des mois, voire des années", a indiqué Melissa Pinto, une des auteures de l’étude dans un communiqué. Cependant, ces derniers préconisent une surveillance médicale lors de la prise de ce traitement : "Si les patients souhaitent essayer des antihistaminiques en vente libre, je les exhorte à le faire sous surveillance médicale", a-t-elle conclu. Il convient donc de demander conseil à son médecin au préalable. Merci pour vos messages de réconfort! Update sur ma deuxième dose du vaccin Pfizer contre le Covid.4/26/2021 Merci pour vos messages de réconfort! Update sur ma deuxième dose du vaccin Pfizer contre le Covid.26 avril 2021
Merci pour vos messages de réconfort! Update sur ma deuxième dose du vaccin Pfizer contre le Covid. Un grand merci à vous tous pour vos messages de réconfort et vos voeux de rétablissement suite à ma tendinite. Je suis contente de vous annoncer que cette crise est arrivée à sa phase finale: celle où je n'ai pratiquement plus de douleurs et suis en mesure de marcher plus ou moins aisément - nonobstant le fait que mon "élégance" en soit quelque peu affectée. Dans l'intervalle, j'ai aussi reçu ma deuxième dose du vaccin Pfizer. Une fois de plus, le processus s'est bien déroulé: accueil, inoculation au top - sans dérapage aucun. Par contre, ayant suivi les recommendations de la gentille et compétente infirmière qui m'a administré les deux doses, je me suis abstenue de prendre un antalgique du genre Tylenol ou Advil après l'inoculation afin de limiter l'impact des effets secondaires potentiels. Selon elle, il était important de permettre à mon système immunitaire de réagir naturellement au vaccin et de lui laisser suivre son cours. Dans la foulée, j'ai eu droit à un épisode de frissons accompagné d'une fièvre assez forte, perte d'énergie et d'appétit. Après deux ou trois heures de ce régime, je me suis décidée à prendre un antalgique qui a résorbé ces symptômes, je l'avoue assez désagréables. Depuis lors, les dits effets secondaires ont disparu et j'ai retrouvé mon rythme et niveau d'énergie normal. Il est vrai que les vaccino-sceptiques continuent de nourrir des doutes sur l'efficacité voire la nécessité du vaccin contre le COVID, et lui attribuent toutes sortes de répercussions calamiteuses. Pourtant sur le plan scientifique et de l'avis de professionnels de la santé éclairés et rationnels, ce vaccin est sûr et constitue pour l'instant l'une des meilleures pistes d'un retour graduel à une certaine normalité, en attendant qu'un traitement fiable devienne disponible. Covid-19. Pfizer a annoncé « mettre au point » deux médicaments pour soigner le virus12 avril 2021
Covid-19. Pfizer a annoncé « mettre au point » deux médicaments pour soigner le virus Ouest France.fr | Publié le 12 avril 2021 | 11:33 Déjà présent avec son vaccin sur le front de la lutte contre le Covid-19, le laboratoire Pfizer a annoncé l’arrivée prochaine de deux médicaments contre la maladie. Cette annonce a été faite, vendredi 9 avril, par David Lepoittevin, porte-parole de Pfizer France, dans les colonnes du Parisien. Il s’agit de deux traitements antiviraux. Toutefois, ces produits « sont encore à une phase très précoce de leurs développements », a-t-il prévenu. Mais on apprend tout de même que ces deux antiviraux auront des modes d’administration différents. L’un sera administré par voie intraveineuse, et l’autre sera pris par voie orale. Pour ce dernier principe, « les résultats encourageants in vitro » ont convaincu le laboratoire américain de lancer une rapide étude clinique. Des adultes sains ont ainsi été choisis pour « évaluer la dose et la tolérance de ce médicament. » Pour l’autre formule, les essais se pratiquent sur des patients « atteints de Covid-19 et hospitalisés ». Les résultats de ces études sont attendus prochainement. Des doses supplémentaires Lors de cet entretien le porte-parole de Pfizer France est revenu sur les investissements « colossaux » réalisés par le laboratoire américain pour accélérer les livraisons avec un temps de fabrication « réduit de 110 à 60 jours ». « Avant la pandémie, Pfizer produisait 200 millions de doses de vaccin chaque année, aujourd’hui, on est à plus de 2 milliards », a avancé David Lepoittevin. Entre avril et juin, le laboratoire va livrer 29,5 millions de doses, soit presque 2 millions de plus que prévu. La société pharmaceutique se félicite d’une très bonne nouvelle. En laboratoire, le vaccin Pfizer est efficace sur les variants anglais et brésilien, et un peu moins le sud-africain. Des résultats que vient adoucir un essai clinique de phase 3 mené en Afrique du Sud. Celui-ci montre que le vaccin est « efficace à 100 % contre ce variant », a fièrement annoncé le porte-parole. J'ai reçu ma première dose du Vaccin Pfizer contre le Covid!31 mars 2021
J'ai reçu ma première dose du Vaccin Pfizer contre le Covid! Par Edwidge Lafleur Comme beaucoup d'entre vous, je nourissais une certaine appréhension à l'idée de me faire vacciner contre le Covid. Un vaccin développé en si peu de temps... Nouvelle technique... Quid de la durée d'immunité? Des effets secondaires? Bref, en me rendant à mon rendez-vous hier je dois vous avouer que la sérénité n'était pas nécessairement à l'ordre du jour. Pourtant, cette première expérience s'est vraiment bien passée. L'organisation, le déroulement, l'accueil à tous points impeccables. Dès mon arrivée au centre de vaccination, je me suis sentie rassurée. Ensuite, pas de longue attente. Mon rendez vous était prévu pour 2:00 pm. Je suis arrivée à 1:45 - histoire de parer à un dérapage inattendu. J'ai rçcu ma dose exactement à 2:00 pm. Le protocole comporte une période d'observation de 15 minutes après l'inoculation. Je suis restée dans l'aire d'observation pendant ces fameuses 15 minutes. Et, à 2:15 pm, je laissais le centre et partais faire des achats dans un magasin se trouvant juste à côté. En termes de réactions, d'effets secondaires? Rien de bien particulier - sinon les effets ressentis après l'inoculation de la plupart des vaccins: une légère sensation de fièvre, un peu de fatigue et de nausée. Le bras dans lequel j'ai reçu le vaccin n'est pas particulièrement endolori. Mon niveau d'énergie est stable et j'ai passé une nuit excellente. De quoi rassurer plus d'un, non? Coronavirus : pourquoi il est important d'être optimiste21 février 2021
Coronavirus : pourquoi il est important d'être optimiste RTL.fr | Publié le 31 janvier 2021 Par Michel Cymes Il peut être difficile de garder le moral en cette période de pandémie, mais pourtant ce sont les optimistes qui vivent le plus longtemps et en meilleure santé, nous dit la science. Comment être optimiste avec tout ce qui se passe ? On ne sort plus, on ne va plus au bar, au restaurant, on ne touche plus personne... Pourtant la science dit bien que les optimistes vivent plus longtemps que les pessimistes. Les chercheurs de la Harvard Chan School of Public Health de Boston ont recruté près de 70.000 femmes et 1.500 hommes pour leur faire suivre un questionnaire évaluant leur niveau d'optimisme. Leur santé a ensuite été suivie pendant des dizaines d'années et le résultat est sans appel : les plus optimistes présentent une durée de vie plus longue de 11 à 15%. Ils ont aussi une probabilité bien plus grande d'atteindre l'âge de 85 ans. Mais à quoi ça sert de vivre plus longtemps si c'est pour vivre la peur au ventre ? Là aussi, la science va nous aider. Car les optimistes ont aussi un système immunitaire plus efficace que les pessimistes, et donc qu'ils peuvent mieux lutter contre les virus... C.Q.F.D ! Comme disait le philosophe Alain, "le pessimisme est d'humeur, l'optimisme est de volonté". Covid long: ces malades chez qui les symptômes s’éternisent23 décembre 2020
Covid long: ces malades chez qui les symptômes s’éternisent Le Figaro.fr | Publié le 22 décembre 2020 | 17:58 Par Delphine Chayet Neuf mois après son Covid-19, Sandrine commence tout juste à «s’en sortir». Les mots ne sont pas choisis à la légère par cette secrétaire âgée de 46 ans. Contaminée en mars dernier, elle a eu besoin d’un soutien en oxygène à l’hôpital. Guérie, elle est rentrée chez elle. Mais l’essoufflement, la fatigue « écrasante» et l’oppression thoracique ne se sont pas dissipés au bout de quelques jours, ni même de quelques semaines. Et des symptômes intermittents sont apparus. Des modifications du goût, des troubles digestifs, des nausées, des tremblements des membres, les mains glacées, des sensations de brûlure sur certaines parties du corps, des frissons, une perte de cheveux, des éruptions cutanées… Comme elle, de nombreuses personnes infectées par le Covid peinent à se rétablir. Leurs symptômes persistent au-delà de deux mois, ou ont ressurgi après une accalmie. Très variés, plus ou moins intenses et durables, ces troubles qui s’éternisent sont désormais officiellement appelés «Covid long». Le syndrome a été reconnu en août par l’OMS. Il est pris très au sérieux au Royaume-Uni, où une quarantaine de consultations dédiées ont été créées. «L’impression de devenir fou» On ignore combien de personnes sont concernées, en l’absence d’étude de grande ampleur. Une enquête téléphonique menée à Genève auprès de 700 patients soignés en ville a montré qu’un tiers d’entre eux ont encore un symptôme quatre à six semaines après leur diagnostic. Le plus souvent une fatigue (14 %), une perte du goût et de l’odorat (12 %) ou un essoufflement (9 %). Plus rarement une toux (6 %) ou des maux de tête (3 %). Une personne sur dix serait encore concernée au bout de trois mois, selon une étude anglaise. «Rapportés aux millions de personnes contaminées depuis le début de la pandémie, ces pourcentages interpellent», note le Dr Mayssam Nehme, auteur principale de l’étude suisse (Annals of Internal Medicine). Des signes cliniques tardifs avaient déjà été constatés en 2003 à la suite de l’épidémie de Sars. On les retrouve aussi après le Chikungunya, qui laisse souvent dans son sillage des fièvres et des douleurs articulaires. « En réalité, toutes les pathologies infectieuses peuvent donner lieu à des formes traînantes », souligne le Dr Benjamin Davido, infectiologue à l’hôpital de Garches, intrigué par les ressemblances entre Covid long et syndrome de fatigue chronique. Souvent inexpliqué, ce dernier est «très certainement déclenché par des agents infectieux non repérés». Dans les deux cas, les malades se plaignent d’une fatigue extrême, qui les cloue au lit, comme de troubles de la mémoire ou de douleurs articulaires. Les bilans sanguins et examens d’imagerie ne révèlent pourtant aucune anomalie. «La plupart du temps, nous ne trouvons pas de cause biologique», confirme le Pr Salmon. Pour expliquer ce puzzle de symptômes, les chercheurs avancent plusieurs hypothèses. Parmi elles, la persistance du virus dans l’organisme (démontrée chez certains malades), une inflammation des vaisseaux sanguins ou une réponse immunitaire inadaptée qui se prolonge en raison d’un terrain génétique particulier par exemple. «La piste d’une dérégulation du système nerveux autonome, qui commande la respiration et la digestion, doit également être explorée», avance le Dr Benjamin Davido, auteur d’une étude qui lançait l’alerte en juillet. Les causes psychologiques ne sont pas oubliées: le stress causé par une maladie nouvelle laisse des traces. Enfin, la sédentarité liée au confinement a pu entraîner une «désadaptation» à l’effort de l’organisme, qui pourrait expliquer un essoufflement ou des palpitations cardiaques durables. Un essai clinique à l’hôpital Foch, conduit par le Dr Nicolas Barizien, est en cours pour vérifier les liens entre l’hypoxie subie pendant l’infection et ce Covid long. Le chercheur a en effet constaté de «fortes similitudes» entre les symptômes post-Covid et les troubles ressentis par des sportifs de haut niveau qui s’entraînent en altitude. «Il reste encore beaucoup de choses à comprendre», résume le Dr Davido. La prise en charge est pour l’heure purement symptomatique: des exercices de rééducation à l’effort, des thérapies contre l’anxiété, de l’aspirine pour soulager les péricardites, etc. «Un bilan minutieux doit être réalisé, afin de ne pas rater une maladie qui pourrait être soignée », précise l’infectiologue. «Nous conseillons aux patients d’économiser leurs efforts physiques et intellectuels, ajoute sa consœur de l’Hôtel-Dieu, et nous écoutons leur détresse.» Son service s’apprête à lancer une étude nationale portant sur mille patients aux prises avec un Covid long , afin de mieux cerner leurs troubles et y répondre. Un spray nasal anti coronavirus : la nouvelle découverte du CNRS pourrait bloquer le Covid-199/2/2020 Un spray nasal anti coronavirus : la nouvelle découverte du CNRS pourrait bloquer le Covid-192 septembre 2020
Un spray nasal anti coronavirus : la nouvelle découverte du CNRS pourrait bloquer le Covid-19 Midi Libre.fr | Publié le 31 août 2020 | 11:58 Par Théo Ruiz Une équipe de chercheurs français affirme avoir trouvé une solution efficace pour lutter contre la maladie. Et si la course mondiale pour découvrir le vaccin du covid-19 venait de trouver un concurrent de taille ? Une équipe de chercheurs français vient de mettre au point un remède prometteur. Si les travaux sont encore en cours d'examen par une revue scientifique, les premiers tests sont encourageants. L'alternative consiste en un spray nasal, ou une pastille placée sous la langue, capable de tromper le coronavirus. Le patient serait alors immunisé grâce à une réaction qui bloquerait le virus. Le protocole développé par le CNRS repose sur un "leurre" capable de tromper la protéine Spike. Le traitement permettrait d'imiter le récepteur ACE2 bernant ainsi le virus qui serait mis hors d'état de nuire. L'équipe s'est assurée que le peptide bloquant le SARS-CoV-2 n’est pas toxique et ne provoque pas de réaction du système immunitaire. Avant la fin de l'année La découverte du CNRS pourrait être disponible dès la fin de l'année, à condition de mobiliser suffisamment de fonds. Pour Philippe Karoyan, professeur au laboratoire des bios molécules de Sorbonne université, et son équipe "la balle est dans le camp de pouvoirs publics et de l'industrie pharmaceutique, tout va dépendre des moyens financiers que nous allons décrocher" pour effectuer des tests in vivo. Le professeur estime que s'il arrive à récolter "au moins un million d'euros", un produit pourrait être formulé avant la fin de l'année. Cancer: les 12 nouveaux commandements pour avoir encore plus de chances de guérir21 février 2020
Cancer: les 12 nouveaux commandements pour avoir encore plus de chances de guérir Le Figaro.fr | Publié le 21 février 2020 | 12:40 NOS CONSEILS - Un meilleur dépistage et des traitements performants ont amélioré le pronostic des malades. Voici quelques recommandations pour ceux qui se battent contre le cancer. 1. Ne pas s’engager dans une intervention sur la foi du seul avis d’un spécialiste ou chirurgien. Tout traitement doit être décidé au cours d’une réunion de concertation pluridisciplinaire (RCP) à laquelle participent tous les spécialistes concernés. 2. S’assurer que le médecin traitant est bien le destinataire de votre dossier. 3. Vérifier sur le site de l’Institut national du cancer, que l’établissement hospitalier vers lequel on pense se diriger est bien autorisé à traiter des cancers (e-cancer.fr). 4. Au moindre doute sur le parcours de soins proposé, ne pas hésiter à recueillir un deuxième avis, surtout si la confiance avec l’oncologue n’est pas au rendez-vous. 5. Pour la chirurgie, s’assurer de l’expérience en cancérologie du service, mais aussi autant que possible du praticien en vérifiant sur l’ordonnance la mention de son diplôme universitaire en cancérologie (DU) et d’un parcours significatif dans un ou plusieurs services de cancérologie. 6. Pour la radiothérapie ou la chimiothérapie, vérifier l’agrément de l’établissement sur le site e-cancer.fr, à partir de la carte interactive de l’offre de soins en cancérologie. 7. Se faire accompagner d’un proche lors de la première consultation avec le cancérologue. 8. Avant de choisir l’établissement dans lequel vous serez suivi, ne pas hésiter à poser la question à son médecin traitant: «Et vous, docteur, si vous étiez dans mon cas, qui iriez-vous voir?» 9. Oser dire: «Je n’ai pas compris.» 10. Se faire aider par un psycho-oncologue dès l’annonce du diagnostic. 11. Ne pas arrêter les traitements en cours si on décide d’avoir recours à une médecine alternative. 12. Ne jamais prendre de médicaments ou de compléments alimentaires sans l’avis de l’équipe qui vous suit. Ces conseils pour éviter de finir chez le médecin à Noël11 décembre 2019
Ces conseils pour éviter de finir chez le médecin à Noël Huffington Post.fr | Publié le 11 décembre 2019 Par Marwane Touati À l’approche des fêtes, l’hiver se fait ressentir et les menus commencent à prendre forme dans la tête des cuistots. Mais s’il y a deux choses dont les gens devraient se méfier à cette période de l’année d’après un médecin contacté par Le HuffPost, ce sont bien le froid et la nourriture. Brigitte Tregouet, médecin généraliste et chargée d’enseignement à l’université de Nantes, a donné au HuffPost quelques conseils pour éviter de devoir appeler SOS Médecins en urgence pendant que d’autres fêtent tranquillement le réveillon en famille. Lorsqu’on lui demande quelle est la première chose qui lui vient à l’esprit parmi celles auxquelles on devrait faire attention pendant les repas de Noël, elle n’hésite pas une seconde: “Les deux choses qui sont le plus toxiques à Noël, c’est l’alcool évidemment, et puis il y a le sel”. “On boit trop d’alcool, ça c’est sûr, on ne devrait pas dépasser 4 verres par occasion!”, nous explique-t-elle. Faire attention au sel Pour ce qui est du sel, la doctoresse avertit sur les méfaits de ce qui est, selon elle, la cause de nombreux malaises chez les personnes déjà malades du cœur notamment. “Les huîtres sont une véritable inondation de sel pour l’organisme, tout comme les apéritifs. Le sel est très toxique pour les gens qui sont hypertendus ou insuffisants cardiaque. On peut vite se retrouver en réanimation si on fait partie de ces gens-là et qu’on ingurgite trop de sel”, affirme notre experte. Elle met également en garde les personnes diabétiques qui doivent se piquer avant chaque repas pour gérer leur taux d’insuline: “Si la piqûre d’insuline est faite trop tôt avant le repas, il y a un risque d’hypoglycémie. À Noël, on a l’habitude de se mettre à table et de se raconter un tas de trucs avant de vraiment passer au festin. Il vaut mieux accepter ce jour-là d’être en hyperglycémie que de prendre le risque de faire une piqûre d’insuline et ne pas donner l’alimentation qui correspond à la dose de sucre. Ça peut être très grave et le pronostic vital peut être engagé...” Limiter l’alcool Selon Brigitte Trebouet, l’alcool est responsable de la plupart des incidents et des problèmes de santé qui surviennent en période de fête. La mère de quatre enfants participe d’ailleurs à la promotion d’un événement que beaucoup de gens connaissent mais auquel très peu participent: le “dry january”. Il s’agit d’un défi qui consiste en ne pas boire une goutte d’alcool pendant le mois de janvier pour se sevrer et reposer son corps. “On a souvent parlé de ce défi de manière très négative en disant que les moralisateurs étaient de retour et qu’on n’avait plus le droit d’aimer la vie et de se faire plaisir. Il ne s’agit pas du tout de ça! Il s’agit surtout de prouver qu’on est capable de mesurer sa consommation tout en restant festifs. L’alcool n’est pas indispensable à la vie mais dans notre pays, je pense qu’il y a une grosse pression sur les hommes à ce sujet là”, nous confie-t-elle. Se laver les mains Cependant, la nourriture et les boissons ne sont pas les seuls à inquiéter les professionnels de la santé comme Brigitte Tregouet. “La promiscuité, le fait de beaucoup s’embrasser et de ne pas aérer, tout ça forme un foyer de contagion important duquel il faut se méfier!”, met en garde celle qui est aussi contributrice de la revue Pratiques. “Le manuportage, tout le monde est au courant que ça existe. Et pourtant, on ne se lave pas tout le temps les mains avant de manger. On s’embrasse à tout va, on met la main devant la bouche quand on tousse puis on se serre la main ensuite”, rapporte la médecin. Autant de microbes qui circulent entre nous les soirs de fêtes et qui finissent par nous rendre malade au pire des moments. Éviter d’être seul Enfin, elle alerte sur ce qu’elle appelle “le syndrome de Noël”. “Noël nous renvoie à l’image de la famille idéale. Malheureusement, il y aussi des gens qui sont tous seuls, il y a des enfants placés en centre d’accueil, etc. Et là on voit plein de gens qui arrivent et qui nous disent avoir tous les maux possibles et imaginables alors qu’il ne s’agit en réalité que de la solitude qui se fait davantage ressentir en période de fêtes”, nous expose celle qui est aussi psychiatre et auteure du livre “Qui sont ces migrants qui débarquent dans nos petites villes?” sur les exilés précaires. Vous l’aurez compris, à Noël, prenez soin de vos proches mais également de ceux qui n’ont pas la chance d’en avoir ou qui vivent loin des leurs. |
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