12 octobre 2015 Fatima 13 octobre 1917 : un miracle devant 70.000 personnes ! Marie Reine.com | Publié le 12 octobre 2015 Il y a deux ans, le 13 octobre 2013, notre pape François consacrait le monde à Dieu par Coeur Immaculé de Marie, faisant suite à la demande de Notre Dame de Fatima. Mais que s’est-il passé le 13 octobre 1917… En 1917, trois enfants-bergers – Lucia Dos Santos et ses cousins Francisco et Jacinta – sont les témoins d’apparitions de la Vierge Marie près de la petite ville de Fatima, au Portugal. * Que nous dit encore aujourd’hui la Vierge Marie par son message de Fatima ? * L’Ange de la Paix Tout d’abord au printemps 1916, Lucie, François et Jacinthe font la rencontre de « l’ange de la Paix », qui va leur enseigner une prière d’adoration, puis une nouvelle rencontre a lieu à l’été, l’ange leur enseignant une prière de pénitence : « Mon Dieu, Je crois, j’adore, J’espère et je Vous aime. Je Vous demande pardon Pour ceux qui ne croient pas, Qui n’adorent pas, Qui n’espèrent pas, Et qui ne Vous aiment pas. » * Ensuite à partir du 13 mai 1917 la Vierge visite les enfants le 13 de chaque mois. En juillet 1917, Lucie, Jacintha et François avaient transmis la promesse de la Sainte Vierge de donner à Fatima le 13 octobre « un miracle que tous verront pour vous croire ». Cette prédiction s’est répandue rapidement dans tout le Portugal, si bien que le 13 octobre 1917 à midi, c’est une foule qu’on a estimé à 70.000 personnes, pèlerins ou curieux, qui se retrouve sur place. * « Je suis Notre Dame du Rosaire » dit l’apparition… « Regardez le soleil ! » dit Lucie. Le temps est pluvieux et les assistants sont trempés. A midi, la pluie cesse, les enfants entrent en extase, et la foule n’entend pas la Vierge qui s’adresse à Lucie : « Je veux te dire que l’on fasse ici une chapelle en mon honneur. Je suis Notre-Dame du Rosaire. Que l’on continue toujours à réciter le chapelet tous les jours. La guerre va finir et les militaires rentreront bientôt chez eux. » Lucie lui demanda si elle pouvait guérir les malades : « Les uns oui, les autres non. Il faut qu’ils se corrigent et qu’ils demandent pardon de leurs péchés ». Notre-Dame prit alors un air plus triste. « Qu’ils n’offensent pas davantage Dieu Notre Seigneur, car Il est déjà trop offensé ». Ouvrant alors les mains, elle les fit se réfléchir sur le soleil que Lucie désigna à la foule en se retournant : « Regardez le soleil ! ». * Un spectacle grandiose et stupéfiant ! C’est alors que tous purent contempler pendant une douzaine de minutes, un spectacle grandiose, stupéfiant et unique au monde. Dans un ciel maintenant bleu et sans nuages, le soleil n’éblouit pas et on peut le fixer à volonté. Il tremble et s’agite, fait des mouvements brusques et finalement se met à tourner sur lui-même, lançant des faisceaux de différentes couleurs sur la foule. Le phénomène s’arrête puis se reproduit par deux fois, avant que le soleil ne semble se précipiter en zigzags sur la terre, irradiant une chaleur de plus en plus intense. La foule est très émue. Les gens sont à genoux. Un vieillard jusque là incroyant agite les bras en l’air en criant : « Vierge sainte ! Vierge bénie ! ». Et de tous côtés se déroulent des scènes analogues. Car tous ont vu la même chose. Et finalement, alors que tous étaient trempés jusqu’aux os, chacun a la surprise de trouver le sol et ses habits absolument secs. * Chrétiens et anti-cléricaux : tous ont vu exactement la même chose. Ces événements étonnants ont été repris dans les jours suivants par toute la presse portugaise chrétienne ou anti-cléricale, tous les journalistes présents ayant vu exactement la même chose. Il y a des photos et des témoignages ont été recueillis jusqu’à 40 km à la ronde. Le quotidien laïc « O Seculo » a même fait sa « Une » sur le miracle du soleil, avec un reportage et des photos tout à fait conformes à ce que tout le monde a vu. L’Evêché de Leira Fatima recueillera à la suite du « miracle du soleil » des milliers de témoignages écrits, qui concordent tous. Les faits miraculeux seront vite reconnus par l’Eglise. * Pendant ce temps, les trois voyants voient la Sainte Famille. Lucie, Jacintha et François témoignèrent avoir eu, au moment où la foule contemplait le miracle, une vision de la Sainte Famille qui apparut avec saint Joseph et l’Enfant-Jésus qui semblaient bénir le monde. ——————————————– Sources : Lucie, Mémoires, Fatima, 1963 ; id., Lucie raconte Fatima, éd. par dom C. Jean-Nesmy, Paris et Montsûrs, 1975 ; id., Memorias II, Fatima, 1996
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October 11, 2015 Prayer for my sister Undergoing Surgery Touching the Sould.Blogpost.com Heavenly Father Author of Life, Healer of Wounds, Source of Abundance, Unconditional Love and Mercy, please hold my sister Lourdes, in the palm of your hand and look at her intestines more closely, examine them, heal them, strengthen the weak parts, reconnect the areas that are loose, mend them and make her damaged intestines new again. Please direct, guide and bless the hands, minds, eyes, and instruments of the team of professionals, the surgeon, the anaesthesiologists, specialized nurses, medical attendants assigned to do the surgery today and every person that touches her. Invite them to focus their minds to the tasks at hand and make each one of them perform their assigned tasks O Lord perfectly and precisely attuned to your command as the Great Conductor, Divine Healer and Comforter. O Holy Spirit and Comforter breathe love and peace to the family and love ones, that they may continue to feel your warmth and love on this day of the surgery. Assure them that Lourdes will be healed fast and soon as she will continue to serve you in the ministry you called her to do for the proclamation of Christ goodness, grace and mercy. We call on the intercession of our Blessed Virgin Mary, all the angels and saints in heaven, especially St. Monica today. We lift up our prayers in the Name of God the Father, God the Son, in union with God the Holy Spirit who lives forever and ever. Amen. 4 octobre 2015 Commentaires de l'Evangile du dimanche 4 octobre 2015 Eglise Catholique.fr + Prions en eglise.fr EVANGILE – selon Saint Marc 10, 2-16 En ce temps-là, des pharisiens abordèrent Jésus et pour le mettre à l’épreuve, ils lui demandaient : « Est-il permis à un mari de renvoyer sa femme ? » Jésus leur répondit :« Que vous a prescrit Moïse ? » Ils lui dirent : « Moïse a permis de renvoyer sa femme à condition d’établir un acte de répudiation. » Jésus répliqua : « C’est en raison de la dureté de vos coeurs qu’il a formulé pour vous cette règle. Mais, au commencement de la création, Dieu les fit homme et femme. A cause de cela, l’homme quittera son père et sa mère, il s’attachera à sa femme, et tous deux deviendront une seule chair. Ainsi, ils ne sont plus deux, mais une seule chair. Donc, ce que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare pas ! » De retour à la maison, les disciples l’interrogeaient de nouveau sur cette question. Il leur déclara : « Celui qui renvoie sa femme et en épouse une autre devient adultère envers elle. Si une femme qui a renvoyé son mari en épouse un autre, elle devient adultère. » Des gens présentaient à Jésus des enfants pour qu’il pose la main sur eux ; mais les disciples les écartèrent vivement. Voyant cela, Jésus se fâcha et leur dit : « Laissez les enfants venir à moi, ne les empêchez pas, car le royaume de Dieu est à ceux qui leur ressemblent. Amen, je vous le dis : celui qui n’accueille pas le royaume de Dieu à la manière d’un enfant, n’y entrera pas. » Il les embrassait et les bénissait en leur imposant les mains. « QUE DIT LA LOI ? » DEMANDENT LES HOMMES Il faut croire que le divorce était déjà un sujet de conversation ! Il y avait ceux qu’on pourrait taxer de laxistes et puis il y avait les rigoristes. Les Pharisiens sont donc venus poser la question à Jésus : « Est-il permis à un homme de répudier sa femme ? » En quoi cette question peut-elle être malveillante ? Marc note que l’intention des Pharisiens est de mettre Jésus à l’épreuve. On attendrait de Jésus une réponse par oui ou par non : c’est permis ou c’est défendu, ou encore c’est permis à certaines conditions. Mais, comme à son habitude, Jésus ne donne pas directement une réponse, il aide ses interlocuteurs à chercher eux-mêmes les éléments de réponse. Pour commencer, il les renvoie à la loi de Moïse : « Que vous a prescrit Moïse ? » En fait Moïse n’a rien prescrit du tout sur ce chapitre ; les lois données au Sinaï ne parlent pas de divorce ; et pas une seule fois dans l’Ancien Testament, on ne trouve ce qu’on pourrait appeler un code du mariage définissant les conditions à respecter en cas de divorce. La seule chose qu’on peut trouver, et c’est cela que les Pharisiens ont en tête, c’est un passage du livre du Deutéronome qui reconnaît implicitement que le divorce existe puisqu’il interdit à un homme divorcé de reprendre ultérieurement son épouse. La phrase précise sur laquelle les Pharisiens s’appuient, commence ainsi : « Lorsqu’un homme prend une femme et l’épouse, puis trouvant en elle quelque chose qui lui fait honte, cesse de la regarder avec faveur, et qu’il rédige pour elle un acte de répudiation et le lui remet en la renvoyant de chez lui… » (Dt 24, 1). Il n’y a ici ni prescription, ni permission, ni conditions du divorce, mais seulement le constat d’une situation existante. Le divorce existait bel et bien et la coutume de l’acte de répudiation s’était établie. Peut-être est-il là le piège tendu par les Pharisiens ? On va voir si Jésus connaît vraiment bien la Loi. « QUEL EST LE PROJET DE DIEU ? » DEMANDE JESUS Mais Jésus est déjà parti bien plus loin : sa réponse, il la cherche sur un tout autre terrain ! Il se réfère au projet de Dieu : « Au commencement de la création, Dieu les fit homme et femme. » Et le mot « commencement » dans la Bible ne veut pas dire un début chronologique, il veut dire plutôt le projet originel, non pas ce qui commence mais ce qui commande la suite, ce dont tout découle. Cette phrase « Au commencement de la création, Dieu les fit homme et femme » fait partie du premier récit de création (Gn 1, 27), un récit que tout le monde autour de lui connaissait par cœur. Jésus n’a cité qu’une petite partie d’un verset, mais tous ses interlocuteurs pouvaient compléter le verset entier : « Dieu créa l’homme à son image, à l’image de Dieu il le créa ; homme et femme il les créa. » La vraie destinée du couple, c’est d’être l’image de Dieu. Et, aussitôt, Jésus ajoute une deuxième référence prise, celle-ci, dans le deuxième récit de création « A cause de cela, l’homme quittera son père et sa mère, il s’attachera à sa femme, et tous deux ne feront plus qu’un. » (Gn 2, 24). Bien sûr, si le couple humain est l’image de Dieu, il est indivisible, indissoluble. Jésus tire la conclusion logique : « Ce que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare pas », c’est-à-dire « Ce que Dieu a conçu dans l’unité, que l’homme ne le sépare pas ». On est là au coeur du mystère du projet de Dieu ; c’est autrement plus haut qu’une question de propriétaires, comme celle des Pharisiens : puis-je la répudier ? La femme est alors traitée comme un objet qu’on prend et qu’on peut tout aussi bien jeter. L’homme à l’image de Dieu est un homme libre qui quitte la sécurité du foyer paternel, pour venir se « greffer », s’attacher à sa femme pour fonder un nouveau foyer aussi solide que le précédent. L’évangile de Matthieu rapporte que les disciples ont alors dit à Jésus « si c’est cela le mariage, ce n’est pas intéressant ! » Jésus les a emmenés au niveau du mystère et du projet de Dieu ; eux sont dans la réalité qui n’est pas toujours facile, sinon la question du divorce ne se poserait pas. Et c’est vrai que pour se hisser au niveau du mystère, il nous faut la grâce de Dieu. Ce n’est que par grâce de Dieu qu’on peut entrer dans le mystère de l’amour et de ses exigences. Livrés à nos seules forces, ce que Jésus appelle « l’endurcissement de notre coeur », nous ne pouvons pas répondre à l’intention du créateur. Et c’est de cela que la Loi a bien été obligée de tenir compte. Quand Jésus dit aux Pharisiens « c’est en raison de l’endurcissement de votre coeur que Moïse a formulé sa loi », il nous fait comprendre que la Loi était une étape de la pédagogie de Dieu ; quand nous serons dans le royaume, nous ne connaîtrons qu’une loi, celle de l’amour. La finale de ce passage d’évangile est très rafraîchissante après nos douloureuses questions d’adultes. Jésus nous invite à accueillir le Royaume de Dieu « à la manière d’un enfant » : les très jeunes enfants accueillent toujours très simplement l’amour qu’on leur témoigne. La possibilité de l’émerveillement Le chemin commun de l’homme et de la femme commence par un cri d’admiration : « Cette fois-ci, voilà la chair de ma chair ! » Se recevant de Dieu, ils se reçoivent aussi l’un de l’autre. Cet accueil mutuel fonde le sacrement du mariage, vécu comme la célébration de l’émerveillement originel destiné à être prolongé dans l’existence des deux époux. En se reconnaissant mutuellement, ils consentent à la différence féconde qui donne tout son sens à leur union. Les époux se mettent en mouvement l’un vers l’autre. Cela les maintient vivants, « Ish » et « Ishsha ». Ils s’engagent sur un chemin de fidélité, promettant de traverser les tempêtes, la lassitude et l’ennui, en revenant toujours à cet ébahissement initial.Pour Christian Bobin, l’ennui « prépare l’émerveillement comme on déploie une nappe blanche les jours de fête ». La responsabilité de ceux qui veulent durer dans la fidélité est d’entretenir le regard des premiers instants. Chaque jour, il faut dresser d’une nappe blanche la table de la rencontre et ouvrir la possibilité d’une surprise. Le désir de fidélité est résistance à la tentation de tout vouloir légiférer, comme les pharisiens. Ces derniers font du mariage – et, donc, de la séparation– une simple affaire de législation. Cette conception les éloigne de l’essentiel, à la différence des enfants que Jésus met en valeur. Il souligne leur capacité d’accueil et honore leur mouvement vers lui. L’homme et la femme sont appelés à une éternelle jeunesse, sachant s’émerveiller l’un de l’autre quelles que soient les circonstances de leur vie. —————————-- Compléments - N’oublions pas que le livre de la Genèse ici ne parle pas d’un homme particulier ou d’une femme particulière ; il parle de l’humanité en général dans laquelle hommes et femmes sont indissociables. L’expression que nous avons lue en première lecture disait la même chose : « Il n’est pas bon que l’homme soit seul », ne veut pas dire « Il n’est pas bon pour un homme de rester célibataire », mais l’humanité n’est complète que dans sa dualité, hommes et femmes. Car c’est seulement dans cette relation de dialogue faite à la fois de distance et de profonde intimité que l’humanité réalise sa vocation d’être image de Dieu. - Ce n’est pas un hasard si le Cantique des Cantiques, lorsqu’il veut révéler le mystère de l’intimité de Dieu prend pour exemple les élans, la tendresse et l’intimité d’un couple d’amoureux. Et, encore aujourd’hui, nos frères juifs lisent le Cantique des Cantiques au cours de la célébration de la Pâque qui est la célébration de l’Alliance entre Dieu et son peuple. - Le Prophète Malachie avait déjà fait ce rapprochement entre la question du divorce et le texte de la Genèse sur l’intention du créateur : « Que personne ne soit traître envers la femme de sa jeunesse… Le SEIGNEUR n’a-t-il pas fait un être unique, chair animée d’un souffle de vie ? Et que cherche cet unique ? Une descendance accordée par Dieu… » (Ml 2, 15). Malachie fonde donc l’exigence de l’indissolubilité du mariage sur les nécessités de la fécondité et de la famille. Là encore, ce n’était qu’une étape dans la pédagogie biblique ; Jésus va encore beaucoup plus loin : la vraie destinée du couple, c’est d’être l’image de Dieu. 2 octobre 2015 Une journée avec mon ange gardien La Bonne Nouvelle.fr Nous fêtons les anges gardiens le 2 octobre ENTRONS EN PRIÈRE : Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Amen Mon cher Ange gardien, frère de mon âme, toi qui es présent avec moi à chaque instant de ma vie, je viens à ta rencontre en ce jour pour te dire merci. Merci pour toutes les fois où tu m’as protégé, pour toutes les situations ou tu m’as guidé sur le bon chemin. Merci de veiller sur les événements de ma vie. Aujourd’hui je te présente mes intentions de prière. Va visiter les Anges gardiens de toutes les personnes que je porte dans mon coeur, afin que chacune soit bien inspiré pour répondre à la volonté de Dieu en cette prière. Console-moi dans mes épreuves, conduis-moi sur la bonne route, assiste-moi dans la difficulté. A partir d’aujourd’hui je décide de faire appel à toi qui es préposé pour me garder, car je sais que tu n’attends que cela pour intervenir. Tu connais ma grande faiblesse, alors dirige-moi, et de tes ailes protège-moi de toutes agressions. Mon cher ami, mon Ange gardien je t’aime et je veux vivre toujours avec toi. LA PRIÈRE DU CŒUR : Mon Ange gardien, écoute maintenant mon cri vers le Ciel ! Dites avec vos mots à vous à votre Ange gardien votre cri du cœur… A la fin de ce temps de prière personnelle, prenez 1 minute de silence. Saint Ange gardien, prie pour moi ! |
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