9 mars 2016
Les 10 conseils pour se remettre d'un chagrin d'amour Plurielles.fr Conseil n°1 : Attention à l'ego "Etes-vous certaine que c'est un vrai chagrin et pas seulement une blessure d'ego ? Si c'est une blessure d'ego, il y a toutes les chances que vous fassiez payer au prochain "amour" les désillusions, les blessures, les maladresses et tous les reproches de la terre que vous imputiez à votre ex. Le pauvre Jules bis ! Il n'y est pour rien. Apprenez à faire la part des choses." Conseil n°2 : Laissez exploser votre colère "Criez un bon coup, pleurez beaucoup, faites preuve de mauvaise foi en accusant votre ex de tous les maux, même si tout n'est pas obligatoirement de SA faute. Vous vous sentirez soulagée." Conseil n°3 : Prenez du recul "Ce chagrin d'amour a-t-il des airs de déjà-vu ? Si oui, cela veut dire que l'on n'a pas encore compris un "truc" de notre histoire qui cause problème. Même si c'est dur à admettre, une relation amoureuse ça se co-construit. Donc vous avez votre part de responsabilité. D'accord, ce n'est pas agréable à lire ou à entendre, mais l'expérience tend à prouver que c'est la réalité." Conseil n°4 : Ne jouez pas les superwomen "Acceptez que vous n'êtes pas toute puissante et que vous pouvez avoir besoin d'aide. Un petit détour par une démarche de développement personnel, ou dit autrement, de connaissance de soi, ne peut pas faire de mal (enfin, si vous faites appel à un professionnel présentant toutes les garanties requises). "Conseil n°5 : Défoulez-vous "Appelez vos vraies amies et défoulez-vous. Vous n'êtes pas obligée d'être raisonnable tout le temps ! Vous avez le droit de dire du mal, de faire la folle, de pleurer, de rire à vous en tordre le ventre et de faire la fête toute la nuit. Demain, il fera jour. Attention quand même aux maux de tête et au teint bouillé... Ce serait mauvais pour l'image et la remise en route d'une opération séduction, même si celle-ci demandera encore un peu de temps." Conseil n°6 : Faites preuve de patience "Acceptez l'idée qu'il faut laisser du temps au temps. Autrement dit, évitez d'accumuler les débuts d'histoire qui ne mènent à rien. Votre estime de vous en prendrait un coup et vous ne seriez pas plus avancée." Conseil n°7 : Acceptez vos émotions "Accueillez vos émotions telles qu'elles viennent. Vous êtes triste ? C'est logique. Vous êtes folle de rage à cause de lui ? C'est normal. Une fois cette étape passée, vous pourrez commencer à tenter de tirer les enseignements de cette histoire aussi décevante et abominable soit-elle." Conseil n°8 : Clarifiez vos objectifs "Que voulez-vous faire avec ce chagrin ? En profiter pour tenter de le récupérer ? Faire en sorte qu'il se sente coupable ? Passer à autre chose ?" Conseil n°9 : Soyez active" Loisirs, boulot, tout est bon pour dissoudre votre chagrin dans l'action. Attention : ceci est une stratégie illusoire. Elle soulage sur l'instant mais ne résoudra rien. Pour aller en profondeur et éviter de souffrir en amour avant longtemps, n'oubliez pas les autres conseils et notamment : la prise de recul voire la consultation d'un pro (psy, coach...)" Conseil n°10 : Prenez la vie du bon côté "Au-delà du fameux 'Un de perdu et dix de retrouvés', soyez optimiste et dites-vous qu'il y a certainement des enseignements à tirer de cette mésaventure et que la vie vous présentera celui qui sera vraiment le bon au bon moment de votre vie."
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1er mars 2016
Polémique sur le viol conjugal : les scénaristes de «Plus belle la vie» s'expliquent Le Parisien.fr | Publié le 1er mars 2016 | 00h00 Après un viol conjugal figurant dans l'épisode diffusé jeudi sur France 3, le sondage sur le compte Twitter du feuilleton a choqué. Le chef des scénaristes s'explique. La série voulait soulever le débat, elle a suscité la polémique. Après une scène de viol conjugal dans l'épisode de « Plus Belle la vie » de jeudi, le compte Twitter officiel du feuilleton de France 3 a lancé un sondage particulièrement maladroit. A la question : « Qu'avez-vous pensé de la scène de viol conjugal diffusée hier soir ? », les réponses proposées étaient : « J'ai été horrifié », « Coralie l'a cherché » ou « Ce n'est pas un viol »... Devant l'indignation des internautes, le site a retiré le sondage, puis publié un message pour s'excuser de cette « formulation inappropriée ». « Toute l'équipe est un peu triste », nous confiait, hier, Olivier Szulzynger, qui supervise l'écriture de la série. « C'est une connerie, poursuit-il. L'un des trois community managers de PBLV (NDLR : chargés d'animer des conversations autour de la série) a voulu rendre compte de l'ambiguïté des représentations sur le viol conjugal. Mais il s'y est pris comme un éléphant dans un magasin de porcelaine. Il va falloir modifier le système de validation de ces tweets. » Le patron des scénaristes s'avoue d'autant plus affligé qu'il avait pris ses précautions pour aborder ce thème sensible. L'idée de traiter du viol conjugal est née il y a près de deux ans. L'équipe de « PBLV » imagine d'abord un viol entre adolescents, mais y renonce après la diffusion sur France 2 du téléfilm « Un fils » avec Michèle Laroque sur le même thème en novembre dernier. Elle décide alors de choisir comme victime un personnage fort comme Coralie, une prof de maths surnommée « Terminator » par ses élèves. « Pour montrer l'ampleur du phénomène, on voulait que ce crime frappe la dernière personne à laquelle le téléspectateur aurait pensé », détaille Olivier Szulzynger. Afin d'être « justes », une demi-douzaine d'auteurs ont rencontré des représentants du Collectif féministe contre le viol, dont la présidente, Emmanuelle Piette*. « On leur a décrit ce qu'était le viol conjugal, quelles étaient les conséquences psychologiques et les issues judiciaires », raconte cette dernière, qui trouve « très positif qu'une série populaire parle du viol conjugal, qui n'existe dans la loi que depuis 1992 ». Dans l'épisode diffusé vendredi, Coralie apparaissait tendue et agressive, mais ne disait mot de son viol. Ces prochaines semaines, l'intrigue sera développée et le personnage pourrait porter plainte. Emmanuelle Piette applaudit : « C'est bien de montrer que les dégâts sont les mêmes lorsque le viol se produit au sein d'un couple. » Pascale Vion, présidente de la délégation aux droits des femmes du Conseil économique, social et environnemental, estime le sondage sur Twitter « choquant, car il insinue que la femme est responsable ». Mais elle se réjouit, elle aussi, de ce que la série s'intéresse aux conséquences du crime : « Plus de 50 % des viols sont des viols conjugaux. Et ces viols suscitent, en plus des douleurs physiques, des syndromes dépressifs, des cas d'anorexie ou de boulimie et une perte d'estime de soi. » |
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